Lance de fixation pour le chariot à panneaux

Lance de fixation

La lance de fixation pour le chariot AtoutLève empêche votre panneau (vitré) de basculer vers l’avant.

En principe, une lance suffit, mais pour les grands panneaux (vitrés), nous conseillons deux lances. Si tu transportes des vitres de plus grandes dimensions sur le chariot à vitres d’AtoutLève, nous te conseillons la pince de serrage.

La lance de fixation est fabriquée en acier inoxydable de haute qualité et bien sûr : Made in Holland. Le prix est à l’unité.

Lance de fixation au Moyen Âge.

Au Moyen Âge, les principales armes du chevalier à cheval étaient l’épée et la lance. Il pouvait également utiliser une dague et une masse d’armes à garniture de fer. Pour se protéger, le chevalier portait une cotte de mailles qui n’offrait pas une protection complète, ce qui l’amenait à couvrir de plus en plus de parties de son corps avec des plaques de fer, donnant finalement naissance à l’armure. Cela conduisit, après l’an 1000, à un changement dans l’utilisation de la lance. Le manche en bois avec sa pointe en fer d’environ 15 cm resta, mais on commença à manier la lance différemment. Jusqu’alors, on levait la lance au-dessus de la tête pour frapper ou la lancer, ou on la tenait sous le bras droit pour maintenir l’équilibre.

Les recherches montrent qu’à partir du dernier quart du XIe siècle, on utilisait des lances plus lourdes qu’on maintenait serrées sous l’aisselle et qu’on tenait avec la main droite juste derrière un arrêt de lance. L’arrêt de lance était installé pour offrir une résistance lors d’un impact. La lance pointait en diagonale au-dessus du cou du cheval vers la gauche. En lançant son cheval au galop, le chevalier pouvait ainsi porter un coup mortel. Cette technique est appelée technique de la lance couchée. Maurice Keen décrivait un chevalier utilisant cette technique comme un ‘projectile humain’. Cette technique nécessitait un entraînement spécial. Le chevalier devait simultanément tenir son bouclier de la main gauche, manier les rênes et rester en selle. Les selles étaient spécialement adaptées pour cette technique. ^[1]